GERER UNE FORET DE FAÇON NATURELLE,
POUR UN STOCKAGE OPTIMISE ET DURABLE DU CARBONE
Des branches aux racines en passant par le sol, un arbre est capable de capitaliser le carbone à long terme sous couvert d’une gestion raisonnée de l’ensemble de la forêt.
Si la pratique de coupe rase d’une parcelle entraîne sa régénération rapide, la dégradation du sol (labour, érosion…) qui s’en suit exerce une perte du carbone contenu dans le sol qui se dégage dans l’atmosphère en quelques années. En revanche, une méthode de coupe par prélèvement permet d’obtenir de meilleurs résultats.
En respectant l’âge et la diversité des espèces, des études ont démontré que le carbone reste stocké dans l’humus, le sol, le sous-sol, les racines... Dans le temps, le système racinaire peut conserver de 30 à 100 % de carbone supplémentaire. D’origine organique autant que végétale, ce dernier constitue la première source d’énergie pour les végétaux ; un facteur clef de la biodiversité.
UN STOCKAGE EFFICIENT DU CARBONE
Mais comme la sylviculture continue et naturelle n'a nul besoin de plantation, puisqu'elle assure la régénération automatiquement, le différentiel est encore plus important à la faveur de cette méthode.
UNE BIODIVERSITE RESPECTEE
Ce mode de gestion permet également de mieux prévenir les risques d’incendie ainsi que les risques liés aux aléas climatiques (tempêtes, érosion).
Enfin une forêt gérée de façon continue et naturelle permet d’améliorer son système écohydrologique en apportant une meilleure filtration, absorption et purification des eaux.
UN ENJEU ECONOMIQUE ET ECOLOGIQUE
La récolte du bois nécessite une main-d’œuvre plus nombreuse ainsi qu’un matériel adapté et plus léger (régénération effectuée sur semis acquis et sur de petites surfaces). Elle exige la mise en place d’un process très précis et fait l’objet d’un suivi rigoureux (choix individuel des prélèvements, diamètre d’exploitabilité, fréquence de passage…).
Persuadée que la gestion naturelle des forêts peut aboutir à des objectifs économiques et écologiques communs, la méthode de sylviculture réclamée par Carbon Forest offre une production de bois de haute qualité et donc de valeur. De diamètre conséquent, ce dernier se destine à la fabrication de produits durables.
Le carbone se trouve ainsi capitalisé à long terme dans les matériaux transformés.
Enfin, en investissant localement vous valorisez le rôle économique de la forêt, levier de transition énergétique (via l’éco construction) et entrez dans une démarche citoyenne et responsable.
UN IMPACT LOCAL
Ainsi, équilibrer son empreinte carbone devient un acte concret. À la différence d’une approche mondiale, l’ancrage territorial d’une société se trouve renforcé par le lien qu’elle crée avec les forêts qui les entourent.
Il permet ainsi aux entreprises de devenir actrices de l’un des enjeux incontournables de notre société. Enfin, en investissant localement, la démarche de Carbon Forest favorise l’économie circulaire.